Voici un tome qui n’a pas su totalement me convaincre. Au départ, j’avais hâte de connaitre l’histoire de Francesca. Elle reste assez mystérieuse dans les tomes précédents, si bien qu’on ne sait pas grand chose d’elle, à part qu’elle a perdu très tôt son mari et qu’elle vit en Écosse. Ah l’Ecosse, rien que ça, ça avait tout pour me plaire.
Finalement, dans ce tome, nous faisons la connaissance de Mickaël, qui était le meilleur ami et le cousin du mari de Francesca. On apprend également qu’ils est fou amoureux d’elle depuis la premiere fois qu’il l’a vue. C’est très beau quand on lit l’histoire de son point de vue car on se rend compte à quel point il aime Francesca. Cependant, il est rongé par la culpabilité et refuse de la courtiser, en mémoire à son cousin.
Ce roman est beaucoup moins drôle que les tomes précédents. Bien sûr, on retrouve la plume très sarcastique de Julia Quinn qui nous offre des réparties vraiment drôles. Mais de nombreux sujets assez graves sont abordés comme la mort, la maladie, le deuil. Francesca et Mickaël vont devoir dépasser leur culpabilité pour oser envisager un avenir ensemble.
La premiere partie du roman m’a semblé assez longue et répétitive. Par contre, j’ai beaucoup aimé la seconde partie du roman qui nous offre des scènes très sensuelles et vraiment belles. Cependant, j’ai trouvé le comportement de Francesca vraiment lâche et cela m’a déçu.
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